« L’appareil de prise de vues semblait destiné à calquer le réel : il se mit à fabriquer des rêves. L’écran paraissait devoir présenter un miroir à l’être humain : il offrit au xxe siècle ses demi-dieux, les stars. »
Edgar Morin, Les Stars, préface à la 3e édition.

Ad Astra propose de générer sous l’œil du ou de la voyageur·se l’ « empreinte astrale » d’Anna Cleveland, top-modèle modiglianesque, showgirl et fille des étoiles. À l’instar de nos empreintes digitales, pourrait-on imaginer une empreinte stellaire qui nous soit propre ?

À partir d'un visage originel, Ad Astra nous invite à nous projeter dans le cosmos. Ainsi embarque-t-on pour une odyssée dans l’espace à travers des astres-visages du système solaire. Sous nos yeux, une trentaine d’années de mouvements planétaires se condense alors librement pour révéler l’empreinte astrale de cette exploration humaine, incarnée par Anna Cleveland. De l’humain à la poussière d’étoiles, infiniment.

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